Seuls 51% des français veulent rester dans l'Union Européenne. €uro et coût de la vie, libéralisme et chômage, distance administrative et souveraineté nationale... Les inquiétudes sont nombreuses et légitimes.
Mais l'Europe c'est aussi et avant tout la paix depuis que le XXe siècle a révélé le prix des nationalismes. S'il faut préserver cet inestimable acquis, quelle forme lui donner? Deux visions s'opposent sur ce choix.
Une vision libérale et commerciale sans autre ambition que celle d'un marché ouvert aux lois du plus fort.
A cet angle apolitique et sans âme, il faut pouvoir opposer une vision volontariste et progressiste. Clarifier les modes de décision, stopper l'austérité fataliste, superviser la finance spéculative, protèger l'agriculture comme l'industrie européenne dans un contexte de mondalisation dont on ne saurait s'éxonérer d'un coup de baguette magique, valoriser les fondements communs et les spécifités des cultures européennes... Il y a tant à construire pour faire vivre cette belle idée.
Le 25 mai les européens pourront désigner pour la première fois le Président de la Commission européenne.
Face aux nationalismes rampant et à l'Europe apolitique nous pourrons "Choisir notre Europe":
"l'Europe du Progrès".
"l'Europe du Progrès".
http://tempsreel.nouvelobs.com/elections-europeennes-2014/20140509.OBS6598/51-des-francais-veulent-rester-dans-l-union-europeenne.html
http://lemonde.fr/europe/article/2014/05/08/francois-hollande-l-europe-que-je-veux_4413580_3214.html?xtmc=l_europe_que_je_veux&xtcr=3
https://www.choisirnotreeurope.fr/propositions
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